Tuesday, October 2

Frenchskies


Alors tu vois, comme tout se mêle et du cœur à tes lèvres, je deviens un casse-tête. Ton rire me crie de te lâcher avant de perdre prise, et d’abandonner. Car je ne t’en demanderai jamais autant. Déjà que tu me traites comme un grand enfant. Nous n’avons plus rien à risquer, à part nos vies qu’on laisse de coté. Et il m’aime encore, et moi je t’aime un peu plus fort. Mais il m’aime encore, et moi je t’aime un peu plus fort.

Car sans rire c’est plus facile de rêver à ce qu’on ne pourra jamais plus toucher. On se prend la main, comme des enfants, le bonheur aux lèvres, un peu naïvement.

Il m’aime encore, et toi tu m’aimes un peu plus fort. Mais il m’aime encore, et moi je t’aime un peu plus fort. Et malgré ça, il m’aime encore, et moi je t’aime un peu plus fort. Mais il m’aime encore, et moi je t’aime un peu plus fort.
So I totes didn't fail my French essay. And didn't die on stage. And I remember why I kept going with music. I always, always seem to forget.

Nothing comes of nothing. First year almost done.

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